Première semaine de la campagne présidentielle : Youcef Aouchiche met du mouvement dans le statuquo
La première semaine de la campagne électorale a été pour le candidat du FFS, Youcef Aouchiche, un plein succès.
Le jeune candidat à la présidence de la République a su capter l’intérêt des citoyennes et citoyens par sa simplicité, son âge, son discours sincère, son approche de oulid echaab (fils du peuple), et son projet politique fondé sur l’équité, la justice et la démocratie.
Dès l’entame de la campagne, par les quartiers mythiques de la Casbah et Bab El Oued, Youcef Aouchiche a envoyé un signal aux « opposants de salons et des réseaux sociaux », ainsi qu’aux partisans du pouvoir, que le FFS est et restera dans le bon côté de l’histoire, aux côtés du peuple.
Comme le poète, le FFS a toujours raison et voit plus haut que l’horizon. Le choix des haltes du candidat pour cette première semaine, et le calendrier aidant, a été judicieux. Que de symboles et de rencontres convoquant à la fois l’histoire et donnant foi en l’avenir.
Le candidat Youcef Aouchiche a su remettre et d’une manière intelligente, au goût du jour cet appel en s’arrêtant d’abord sur les lieux où sont tombés en martyres Ali La Pointe, Hassiba Ben Bouali, le petit Omar et Mahmoud Bouhamidi, et en invitant les Algériens à ne pas déserter l’espace politique et imposer le changement à travers les urnes dans un véritable « Hirak électoral ».
Il ne s’agit nullement d’un appel populiste pour gagner des voix, mais l’expression sincère d’une volonté de « faire du mouvement dans le statuquo ». Il n’y a point de salut dans le statuquo mortifère que nous impose à la fois, un régime autoritaire ne laissant pas de place à l’exercice de la politique, et une pseudo-classe politique calfeutrée dans les salons se dressant en « empêcheurs de mobiliser en rond ».
L’accueil de la population réservé au candidat du FFS, qui a opté pour plus de contacts directs avec les citoyens plutôt que les meetings, a été grandiose, qu’il s’agisse des sorties de proximité dans l’intrépide capitale, ou dans l’historique Tipasa, en passant par la résistante Bordj Bou Arreridj, la douce Bousaada, la belle Miliana, la brave Lakhdaria, la glorieuse Valée de la Soummam, et la vaillante Constantine. Que de haltes accueillantes et que de symboles.
Le périple électoral du Candidat Youcef Aouchiche a eu pour fil conducteur, dans cette première semaine, la reconnexion de la jeunesse avec la politique et l’histoire.
La réhabilitation de l’exercice de la politique en redonnant de l’espoir. « Les pères fondateurs du mouvement national étaient jeunes, et les plus âgés parmi eux n’avaient pas encore atteint 35 ans » répétait le jeune candidat lors de ses sorties en mettant un point d’honneur à briser les discours de désespoir et à redonner confiance dans la possibilité du changement.